L’association France Parkinson propose un nouvel outil pour orienter les malades car “il peut être déroutant pour eux de naviguer dans le système de soins”. Baptisée “Parcours de soins”, cette “pochette” présente notamment les différentes approches thérapeutiques, notamment paramédicales, dont l’efficacité est avérée pour améliorer l’état général des patients et prévenir les conséquences de l’évolution de la maladie, en complément du suivi assuré par le neurologue.

Un tableau identifie 5 types de symptômes et les professionnels qui peuvent intervenir avec une pastille indiquant le degré de nécessité estimé. Un patient qui a par exemple des difficultés motrices pourra s’adresser à un MPR (degré 1, le plus important), à son kinésithérapeute (degré 2), un enseignant en APA (3), un psychomotricien (4) ou encore un ergothérapeute (5). S’il a des difficultés de communication, il peut aussi consulter un MPR (1), un orthophoniste (2), un kinésithérapeute (3).

Pour des troubles psychiques, l’association l’adresse à un psychologue (1), un psychomotricien (2), etc.

L’association explique également le rôle des différentes structures auxquelles un patient peut être confronté : centre expert Parkinson, maison sport santé, plateforme de répit, neurologue libéral… ainsi que l’importance de l’éducation thérapeutique. Retrouvez toutes les informations sur www.franceparkinson.fr/agir-sur-la-maladie/parcours-de-soin/

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